Quelques points à connaitre concernant le divorce à l’amiable sans juge

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Le divorce à l’amiable sans juge permet de se séparer rapidement de son conjoint et d’éviter ainsi les conflits au mieux. Les époux sont d’accord sur tout, que ce soient sur les enfants, les pensions, les biens, etc. Le divorce à l’amiable est envisageable automatiquement après la célébration du mariage. Ce qui n’est pas le cas avec les autres catégories de divorce qui nécessitent quant à elles d’attendre au moins 6 mois avant de vouloir engager une procédure de divorce. Dans certains cas, il faudra même attendre 2 années entières.

À qui s’adresse le divorce à l’amiable sans juge ?

Depuis le 1er janvier 2017, tout couple qui est d’accord sur le principe du divorce et ses conséquences, peut opter pour un divorce à l’amiable à Marseille. Cette procédure vise à désengorger les tribunaux avant tout. La séparation peut être effective rien qu’en 6 mois, sans que le juge n’ait besoin d’intervenir. Le divorce à l’amiable à Marseille est parfait pour les couples qui n’ont pas d’enfants, encore moins de patrimoines. Il se fait avec 2 avocats (chacun des époux se trouve un avocat) et les rendez-vous se feront quatre à quatre.

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De ce fait, il y aura un accord équilibré et les intérêts de chacun des conjoints sont bien protégés. Le projet de convention est envoyé durant un délai de 15 jours. Après la signature, la convention du divorce est enregistrée par un notaire. Le changement de votre état civil se fera après cela.

Un divorce moins coûteux ?

Le divorce à l’amiable à Marseille est nettement moins coûteux que les autres formes de divorce. Les conjoints n’ont pas besoin de contacter un tiers pour servir de médiateur. Ce qui a tendance à augmenter les coûts d’un divorce. De plus, étant donné que les démarches se font rapidement, les frais d’avocat deviennent moins importants dans ce cas. Mais même si le divorce à l’amiable est moins coûteux qu’un divorce contentieux, il n’en reste pas moins qu’il peut devenir cher. En effet, il ne faudrait pas oublier qu’en plus des honoraires des avocats, il faudrait également se charger des frais facturés par le notaire. Les droits d’enregistrement de l’acte coûtent environ 120 euros, sans oublier les tarifs hors-taxes. Mais d’une façon générale, ce type de séparation reste toujours plus bénéfique sur le plan financier. D’ailleurs, les ex-conjoints peuvent tout à fait bénéficier d’une aide juridictionnelle.

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